Le lièvre épargne très tôt, mais cesse rapidement. La tortue, elle, commence à mettre de l’argent de côté plus tardivement, mais le fait sans relâche jusqu’à 65 ans. Qui du lièvre ou de la tortue se retrouvera avec le capital le plus important au moment d’arrêter de travailler? Pierre-Olivier Langevin revisite la fable de Jean de La Fontaine afin d’illustrer le puissant effet composé des rendements. Une excellente matière à réflexion à partager aux plus jeunes. Pour en savoir plus, visitez www.gpsmedici.ca
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