Plus de 400 familles et institutions font confiance à Medici pour la gestion de leur portefeuille. L’approche de gestion privée de Medici mène toute l’équipe à offrir un service basé sur la transparence, l’imputabilité et les services hautement personnalisés. Nos gestionnaires traitent les clients de la même façon qu’ils souhaiteraient être traités, investissent eux-mêmes leur propre argent dans les mêmes titres que les clients.
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Quelles sont les mesures prises par Medici pour que les investissements de ses clients résistent le mieux à une possible baisse des évaluations ? C’est la question à laquelle répond Eddy Chandonnet, gestionnaire de portefeuille et associé, dans un article publié récemment dans le journal Les Affaires.
« Les Bourses se négocient à des niveaux élevés depuis plusieurs mois, si bien que l’indice phare américain, le S&P 500, a atteint un seuil d’évaluation environ 25 % supérieur à sa moyenne historique », souligne-t-il.
Dans ce contexte, explique Eddy, Medici s’assure d’éviter le piège de l’éparpillement et exige une plus grande marge de sécurité au moment de l’achat d’un titre.
« Si nous devions détenir des centaines de titres comme c’est généralement le cas de portefeuilles composés de fonds communs d’action, il serait très difficile de trouver une quantité suffisante d’entreprises se négociant à des prix raisonnables, écrit-il.
« En composant notre portefeuille d’une vingtaine d’entreprises exemplaires présentes dans divers secteurs d’activité, nous nous assurons d’appliquer avec soin nos critères de qualité et d’évaluation. »
De plus, « lorsque nous analysons différentes occasions d’investissement, nous exigeons une plus grande marge de sécurité (un meilleur prix) au moment de l’achat pour un titre qui recèle une croissance potentielle plus faible ou des avantages concurrentiels relativement inférieurs à ceux d’autres titres. Nous sommes également moins patients pour ces entreprises lorsque leur évaluation grimpe. »
Pour lire l’article complet, visitez Les Affaires ou téléchargez l’article en PDF en cliquant sur le lien ci-dessous.
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Titre h4 Gestion de portefeuille Medici
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Quelles sont les mesures prises par Medici pour que les investissements de ses clients résistent le mieux à une possible baisse des évaluations ? C’est la question à laquelle répond Eddy Chandonnet, gestionnaire de portefeuille et associé, dans un article publié récemment dans le journal Les Affaires.
« Les Bourses se négocient à des niveaux élevés depuis plusieurs mois, si bien que l’indice phare américain, le S&P 500, a atteint un seuil d’évaluation environ 25 % supérieur à sa moyenne historique », souligne-t-il.
Dans ce contexte, explique Eddy, Medici s’assure d’éviter le piège de l’éparpillement et exige une plus grande marge de sécurité au moment de l’achat d’un titre.
« Si nous devions détenir des centaines de titres comme c’est généralement le cas de portefeuilles composés de fonds communs d’action, il serait très difficile de trouver une quantité suffisante d’entreprises se négociant à des prix raisonnables, écrit-il.
« En composant notre portefeuille d’une vingtaine d’entreprises exemplaires présentes dans divers secteurs d’activité, nous nous assurons d’appliquer avec soin nos critères de qualité et d’évaluation. »
De plus, « lorsque nous analysons différentes occasions d’investissement, nous exigeons une plus grande marge de sécurité (un meilleur prix) au moment de l’achat pour un titre qui recèle une croissance potentielle plus faible ou des avantages concurrentiels relativement inférieurs à ceux d’autres titres. Nous sommes également moins patients pour ces entreprises lorsque leur évaluation grimpe. »
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