Vous avez déjà entendu le refrain : il est essentiel de diversifier ses investissements. Mais qu’est-ce que ça signifie et pourquoi est-ce si important? Le gestionnaire de portefeuille et associé Phillippe Veilleux a répondu aux questions du journaliste Pierre Théroux sur le sujet dans Les Affaires.
La diversification, c’est une stratégie pour réduire le risque lié à la volatilité des marchés. Elle ne se limite pas à la simple répartition entre quelques entreprises. Il est crucial d’explorer des secteurs variés.
«Un investisseur qui met tout son argent sur les actions d’une ou deux sociétés, dans l’espoir de frapper un coup de circuit, mise davantage sur la chance que sur une saine gestion de son portefeuille. Il ne faut pas non plus s’en remettre à un seul secteur d’activité», précise l’article.
«Les investisseurs qui se lancent en Bourse, sans avoir les connaissances requises, sont d’abord confrontés au risque d’ignorance. Et la meilleure façon de mitiger ce risque, c’est en répartissant ses avoirs dans un plus grand nombre de placements» , conseille Philippe Veilleux, associé chez Medici.
En diversifiant ses avoirs, indique l’article, on diminue l’exposition à un actif spécifique, limitant ainsi les impacts négatifs en cas de fluctuations du marché.
La diversification, une stratégie à multiples facettes
À la diversification sectorielle doit s’additionner la diversification en fonction du risque, explique Philippe dans l’article. «Une entreprise comme Amazon se retrouve dans le secteur des technologies, au même titre que Facebook ou Google. Mais son modèle d’affaires, basé sur la vente de produits en ligne, est différent et l’entreprise n’est pas confrontée aux mêmes risques de marché.»
Dans tous les cas, «on devrait toujours avoir dans son portefeuille des entreprises qui ont de meilleures chances de faire face à la musique, quand l’économie se retrouve en situation de ralentissement ou de récession, ou lorsqu’elles sont confrontées à des problèmes spécifiques à leur secteur d’activité», ajoute-t-il dans Les Affaires.
Le journaliste souligne que «l’approche traditionnelle en matière de diversification consiste aussi à investir dans des actions ou des obligations d’entreprises situées dans différentes régions du monde. Et ce, sous prétexte qu’elles ne sont pas nécessairement confrontées aux mêmes soubresauts de l’économie, au même moment»
Cette approche n’est plus adéquate, a souligné notre collègue au journaliste.
«Ce n’est pas une obligation d’investir dans tel pays pour la seule raison de bénéficier d’une diversification géographique. Un investisseur qui tient à être exposé à une économie mondiale n’a pas besoin d’acheter des actions d’une entreprise inscrite à la Bourse d’un autre pays. Il peut très bien trouver une entreprise canadienne, cotée à Toronto, dont l’essentiel de ses activités est aux États-Unis ou ailleurs dans le monde.»
La globalisation des marchés a rapproché les frontières, a conclu le gestionnaire de portefeuille.
Consultez l’article sur le site Les Affaires.
Titre h4 Gestion de portefeuille Medici
Plus de 400 familles et institutions font confiance à Medici pour la gestion de leur portefeuille. L’approche de gestion privée de Medici mène toute l’équipe à offrir un service basé sur la transparence, l’imputabilité et les services hautement personnalisés. Nos gestionnaires traitent les clients de la même façon qu’ils souhaiteraient être traités, investissent eux-mêmes leur propre argent dans les mêmes titres que les clients.
Lorem ipsum consectetur aliqua occaecat aliquip aliqua pariatur sed dolore ullamco id reprehenderit nisi aliquip excepteur irure velit mollit sed sed cupidatat ullamco est laborum eu cillum pariatur voluptate commodo qui duis culpa dolore nostrud aliqua do qui cupidatat est ut cupida
La diversification: le pourquoi et le comment d’une stratégie essentielle en investissement
Vous avez déjà entendu le refrain : il est essentiel de diversifier ses investissements. Mais qu’est-ce que ça signifie et pourquoi est-ce si important? Le gestionnaire de portefeuille et associé Phillippe Veilleux a répondu aux questions du journaliste Pierre Théroux sur le sujet dans Les Affaires.
La diversification, c’est une stratégie pour réduire le risque lié à la volatilité des marchés. Elle ne se limite pas à la simple répartition entre quelques entreprises. Il est crucial d’explorer des secteurs variés.
«Un investisseur qui met tout son argent sur les actions d’une ou deux sociétés, dans l’espoir de frapper un coup de circuit, mise davantage sur la chance que sur une saine gestion de son portefeuille. Il ne faut pas non plus s’en remettre à un seul secteur d’activité», précise l’article.
«Les investisseurs qui se lancent en Bourse, sans avoir les connaissances requises, sont d’abord confrontés au risque d’ignorance. Et la meilleure façon de mitiger ce risque, c’est en répartissant ses avoirs dans un plus grand nombre de placements» , conseille Philippe Veilleux, associé chez Medici.
En diversifiant ses avoirs, indique l’article, on diminue l’exposition à un actif spécifique, limitant ainsi les impacts négatifs en cas de fluctuations du marché.
La diversification, une stratégie à multiples facettes
À la diversification sectorielle doit s’additionner la diversification en fonction du risque, explique Philippe dans l’article. «Une entreprise comme Amazon se retrouve dans le secteur des technologies, au même titre que Facebook ou Google. Mais son modèle d’affaires, basé sur la vente de produits en ligne, est différent et l’entreprise n’est pas confrontée aux mêmes risques de marché.»
Dans tous les cas, «on devrait toujours avoir dans son portefeuille des entreprises qui ont de meilleures chances de faire face à la musique, quand l’économie se retrouve en situation de ralentissement ou de récession, ou lorsqu’elles sont confrontées à des problèmes spécifiques à leur secteur d’activité», ajoute-t-il dans Les Affaires.
Le journaliste souligne que «l’approche traditionnelle en matière de diversification consiste aussi à investir dans des actions ou des obligations d’entreprises situées dans différentes régions du monde. Et ce, sous prétexte qu’elles ne sont pas nécessairement confrontées aux mêmes soubresauts de l’économie, au même moment»
Cette approche n’est plus adéquate, a souligné notre collègue au journaliste.
«Ce n’est pas une obligation d’investir dans tel pays pour la seule raison de bénéficier d’une diversification géographique. Un investisseur qui tient à être exposé à une économie mondiale n’a pas besoin d’acheter des actions d’une entreprise inscrite à la Bourse d’un autre pays. Il peut très bien trouver une entreprise canadienne, cotée à Toronto, dont l’essentiel de ses activités est aux États-Unis ou ailleurs dans le monde.»
La globalisation des marchés a rapproché les frontières, a conclu le gestionnaire de portefeuille.
Consultez l’article sur le site Les Affaires.
Vous aimerez aussi
Participez à notre webinaire Les Affaires
Medici dans La Presse au sujet de la baisse des marchés
Turbulences en Bourse: Pierre-Olivier Langevin formule ses conseils à RDI
En Bourse, il faut plus souvent dire non que oui pour avoir du succès
Laissez-nous vous présenter notre stratégie plus en détail
Découvrez notre savoir-faire