Dye & Durham : gare au syndrome Valeant
« Privilégier les entreprises qui ont le pouvoir d’imposer leurs prix et dont la clientèle est captive, voilà un des meilleurs moyens de prémunir les portefeuilles que nous gérons contre les effets néfastes d’une inflation accélérée », ont écrit Pierre-Olivier Langevin, gestionnaire de portefeuille et associé, et Yannick Clérouin, gestionnaire de portefeuille adjoint, dans le journal Les Affaires.
Ils formulent cependant une mise en garde : « Nous prenons toutefois nos distances des sociétés qui profitent de leur position dominante pour hausser le prix de leurs produits ou services de façon exagérée, et ce, même si elles affichent une forte croissance. »
Les deux spécialistes de Medici donnent ainsi l’exemple de Dye & Durham, un fournisseur torontois de solutions logicielles aux institutions financières, aux cabinets d’avocats et aux agences gouvernementales. Cette entreprise a récemment augmenté de façon très importante ses tarifs pour sa clientèle du secteur immobilier, en Colombie-Britannique.
Pierre-Olivier et Yannick soulignent qu’une telle stratégie peut avoir des effets néfastes pour le titre et l’entreprise.
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