Gain en capital : la hausse du taux d’inclusion démontre l’importance des marges de manœuvre
La récente hausse du taux d’inclusion pour les gains en capital met en lumière l’importance des marges de manœuvre dans toute planification financière. C’est ce qu’expliquent les gestionnaires de portefeuille et associés Karine Turcotte et Yannick Clérouin dans une nouvelle capsule vidéo.
Depuis près de 25 ans, les gains en capital sont imposables à 50 %. Ainsi, il fallait payer de l’impôt sur seulement la moitié de vos gains. Le 25 juin dernier, la règle a changé : le taux d’inclusion des gains en capital est passé à 66,7 % pour le premier dollar de gain réalisé dans les entreprises et pour les gains au-delà de 250 000 $ pour les particuliers.
Cette modification force les épargnants à réfléchir sur son incidence et sur la planification de leur retraite.
Sur YouTube, Karine et Yannick discutent des éléments suivants :
- La différence entre l’imposition des particuliers et celle des sociétés de gestion;
- La raison pour laquelle il faut privilégier le rendement;
- Les stratégies à utiliser pour mitiger l’impact de ce changement.
Nos experts notent qu’une planification financière sans marge de manœuvre vous expose aux risques d’inévitables imprévus, comme des dépenses imprévues pour les soins de santé ou la hausse du taux d’inflation.
L’évolution historique du taux d’inclusion illustre d’ailleurs ce risque : le taux a déjà atteint 75 % dans les années 1990.
Regardez la vidéo sur YouTube.